« Une belle idée, De belles rencontres, Une force de conviction inébranlable, De très belles réalisations, Aujourd’hui une fondation. Demain ? … Avec vous ! »
« Longue vie à la Fondation pour que la vie des gens soit plus longue et bien plus agréable. Pour vivre vieux et en bonne santé, la prévention à tous les âges et l’accès à l’APA pour ceux qui en ont besoin. Merci»
« Quelle aventure !!! Avec une telle flamme et tant de bienveillance, elle ne peut que se multiplier à travers la fondation ! »
« Je soutiens Siel Bleu et ses fondateurs pratiquement depuis leur début.
La sédentarité fait de plus de en plus de ravages dans notre société et l’activité physique est devenu un nouveau mode de vie santé. Elle est aussi considérée aujourd’hui comme l’un des adjuvants les plus puissants des thérapies des maladies chroniques comme le cancer ou le diabète.
A travers la Fondation Siel Bleu, je vous invite à contribuer à un grand élan de recherche sur la santé par l’activité physique. » – Docteur Philippe Presles
Quels sont les progrès que vous avez pu observer depuis le début des interventions ?L’intervention d’Audrey a tout changé. En effet, Audrey a clairement compris ce que j’attendais : retrouver de l’autonomie. Elle a alors adapté ses interventions. Avant, j’étais assise tout le temps. Me déplaçant avec un déambulateur à roulettes, je ne sortais presque plus. Je n’avais plus l’ombre d’un muscle sur les jambes car, si j’avais été sportive un temps, il ne me restait rien. Je vivais enfermée. Au bout de 2-3 séances avec Audrey, j’ai eu envie de me battre… et maintenant je me bats ! Nous avons remusclé mes jambes et progressivement, nous sommes sorties. J’ai appris à traverser et maintenant je vais au centre ville toute seule sans éprouver ni peur ni épuisement.
Depuis combien de temps connaissez-vous Siel Bleu ?
Pourriez-vous nous parler de votre première « rencontre » avec Siel Bleu, de son contexte ?
En 2003, j’ai trouvé dans le journal une annonce sur un groupe de personnes qui faisaient du footing. J’allais tourner la page, me disant : « C’est toujours pareil, cela ne concerne que les personnes en bonne santé… ». Et par hasard, en survolant l’article, j’ai vu que c’était pour les personnes Alzheimer. J’ai téléphoné tout de suite et Christophe, le chargé de prévention, est venu trois jours après. Christophe a été tellement gentil ! J’ai d’abord pris quelques cours pendant 2 ou 3 semaines. Je n’avais pas l’APA (Aide Personnalisée d’Autonomie) à l’époque, alors je l’ai demandé en spécifiant que je ne voulais personne pour le ménage mais que je préférais que cela finance les cours d’Activité Physique Adaptée pour mon mari. Le hasard a fait que Christophe et la personne envoyée par le Conseil Général se sont trouvés justement chez moi au même moment. La personne a réfléchi et a finalement accordé l’aide ; c’était la première fois que l’APA finançait des cours d’Activité Physique Adaptée.
A l’époque, tout le monde me disait que cela ne servirait à rien. Et aujourd’hui, tout le monde est étonné car grâce à Siel Bleu, mon mari s’est maintenu. A l’hôpital, les infirmières ont demandé si on ne pouvait pas faire venir Siel Bleu. Nous avons fait beaucoup de communication !